Apparu au début du 21ème siècle, le tourisme spatial est un rêve devenu réalité. Celui-ci est un tourisme effectué dans l’espace. Ce qui est certain, c’est qu’il est réservé pour les fortunés, puisque le coût n’est pas à la portée de tout le monde.

L’historique du tourisme spatial

En 2004, un milliardaire appelé Richard Branson a fondé une société spécialisée dans les vols spatiaux, nommée Virgin Galactic. Quatre ans après cette fondation, la société a dévoilé un projet de tourisme spatial. En 2003, le fondateur a suggéré que le premier vol puisse avoir lieu en 2009. Mais le groupe a dû patienter jusqu’en 2010 pour un premier vol plané, et attendre jusqu’en 2013 pour réaliser le premier test avec l’appareil en vol. Finalement, c’est en 2014 que la société Virgin Galactic a eu l’autorisation des autorités américaines pour transporter des passagers.
Cependant, tout ne s’est pas passé comme prévu, car pendant les tests, le vaisseau de la société a fait une chute dans le désert de Californie, ayant tué le pilote. Toutefois, les vols ont repris en 2016.

La préparation du vol

Voyager dans l’espace est une opération qui ne doit pas être prise à la légère. Il faut que les passagers soient prêts et bien préparés pour le voyage. Pour cela, il existe un entraînement. qui a pour objectif de préparer les passagers, afin qu’ils ne soient pas surpris ou préoccupés par le Nord et le Sud en arrivant à destination. Cette dernière se fait en trois jours, de façon théorique. Le premier jour, l’entraînement se focalise sur le passager, c’est-à-dire sa tenue, ses moyens de communication et ses équipements. Le deuxième est consacré pour tous les passagers ensemble : la formation de l’équipage, etc. Et enfin le dernier jour les passagers sont mis à l’épreuve avec des répétitions et des simulations.

Le fonctionnement du vol

Pour ce voyage pas comme les autres, il faut dépasser l’altitude de 100 km, car c’est là que l’atmosphère est plus résistante. Pour parvenir à cette altitude, la société Virgin Galactic a misé sur le vol suborbital. Le principe est d’envoyer un aéronef pour franchir les 100km d’altitude. Pour maintenir la gravité, la vitesse des navettes doit aller moins vite que la vitesse de la satellisation minimale. Arrivés à ce terme, les passagers pourront descendre du vaisseau sous l’influence de la gravité. Et le retour sur terre se fera à une très grande vitesse.